Le 22 mai 2018 le projet MobiCity.Mob.el.Car a reçu le Prix de l'Environnement de la Province de Liège Catégorie 

" Citoyens"

Voilà enfin la récompense d'un long travail dans le véhicule électrique, initié il y a ...22 ans !

La preuve que rien n'est jamais inutile, et la conclusion : « Il ne faut jamais baisser les bras et toujours croire en sa bonne étoile ! »

Guy Hamesse.


CONSTAT INQUIÉTANT.

  • La pollution de nos villes annule les bienfaits de la marche urbaine. C'est notre santé physique et mentale qui est concernée, et les enfants ne sont pas épargnés. Il est plus que temps d'inverser ce constat, par l'utilisation d'une mobilité urbaine non polluante (dixit les chercheurs de l'Imperial College de Londres), pour contrer la pollution des "autos immobiles".

    Dans ce but nous proposons une alternative durable par l'utilisation de petits véhicules standardisés et plus légers, équipés d'un bloc énergétique central couplé à une batterie sur tiroir (lithium, fer, phosphate).

    C'est ainsi qu'est né le concept environnemental d'un petit véhicule électrique urbain partagé, le MOBI CITY, avec motricité par deux motoroues électriques de traction, que nous développerons dans les points suivants.

    Historique : nous sommes sensibilisés et actifs depuis 1996, quant aux alternatives envisageables pour transformer la circulation urbaine polluante, par une mobilité écologique et durable, en améliorant notre environnement urbain, et donc notre santé.

    Un de nos objectifs, dès à présent, est de nous inscrire avec ce dossier MobiCity dans une dynamique pour la défense d'un environnement urbain plus sain et durable, en laissant, en périphérie de nos villes, nos transports actuels de personnes et de marchandises.

    Commençons cette réflexion par un constat inquiétant et alarmant à propos de la congestion urbaine.

    Nous citons à ce sujet le journaliste Michel Bouffiaux, qui en page 98 du Paris Match n°568, nous dresse un état plus qu'alarmant de la mobilité actuelle et future dans une capitale fort peuplée telle que Bruxelles.

    Le titre de son article : « Embouteillages dans les grandes villes »- L'enfer au quotidien », début de citation :

    « Près de 400000 voitures circulent chaque jour dans la capitale de l'Europe. Pour désengorger le trafic, bien des solutions alternatives existent : train, tram, bus, métro, vélo, parkings de dissuasion (et bientôt le RER ... ?) ... mais de toute évidence, cela ne suffit pas.

    En moyenne, les conducteurs belges perdent plus de 50h par an dans les files. Cela fait deux jours de vie gaspillés par année ! Mais l'enfer touche toutes les métropoles...

    Dans ce même article, Vanina Ickx (pilote de course professionnelle) est interrogée et déclare :

    « Dans quelques années, les automobilistes circuleront dans Bruxelles à une moyenne de 5 kms/h, c'est la vitesse de la marche. Des études ont démontré que, dans notre capitale, la longueur moyenne des déplacements en automobile n'était que de 3kms. Or c'est sur ces petits trajets que l'on consomme, que l'on pollue le plus et que l'on récolte le plus de stress. Il est clair que l'on arrive à saturation. » Fin de citation.

    Cet article, daté du 26/07/2012 est toujours et encore davantage d'actualité !!

    Il est évident qu'il nous faut trouver des solutions urgentes et durables pour soulager le trafic et réduire autant que possible cette circulation urbaine de véhicules polluants ; il est également très inquiétant de réaliser que ce constat concerne beaucoup d'autres centres urbains, tant belges qu'européens et extra-européens.

  • Déjà dans notre ouvrage « Urban Mobility Concept » terminé en 2012, nous attirions l'attention de nos lecteurs et de nos dirigeants (voir constat alarmant en page 10 et 11) sur l'urgence à trouver des solutions durables à la pollution des centres villes, de même qu'au désengorgement de toutes ces « auto-immobiles » et leur remplacement par de petits véhicules légers modulables, également à louer ou à partager en centres urbains, dont la mobilité serait assurée par motoroues électriques.

    Nous avons également proposé à ce sujet un petit véhicule léger non polluant, le MobiCity, dossier pour lequel nous avons reçu le Prix 2018 de l'environnement en Province de Liège.

    Nous proposions également, dans ce même ouvrage, une possible solution à envisager par les services sociaux urbains, en utilisant des hébergements mobiles temporaires pour accueillir les précarisés de tous bords, à la rechercher d'un toit pour se protéger la nuit (SDF, sans-papiers, migrants, réfugiés...) et les sortir ainsi de la voie publique ( voir les remorques du Cœur » en page 30 et 31)

    Ces remorques seraient donc amenées par les services sociaux le soir à des endroits stratégiques (gares, métros, parcs ...) pour abriter tous ces précarisés et seraient reprises le matin par ces mêmes services sociaux ; donc mise à disposition de 19h à 7 h du matin.

    Chaque « remorque du cœur » est conçue pour y accueillir max 4 personnes, accompagnées éventuellement d'un animal qui serait également accepté et protégé.

    Depuis la rédaction de cet ouvrage de 2012 « Concept de Mobilité Urbaine » nous sommes à présent confrontés à un nouveau drame humanitaire qui engendre un nouveau Constat Alarmant !

  • Il concerne cette fois un dossier intitulé « îlots de vie » (à retrouver sur www.ilotsdevie.webnode.fr) , voir contact


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